Deer Man: Seven Years Living with Deer in the Wild

Deer Man: Seven Years Living with Deer in the Wild

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  • Create Date:2022-04-10 00:51:45
  • Update Date:2025-09-06
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  • Author:Geoffroy Delorme
  • ISBN:1408714809
  • Environment:PC/Android/iPhone/iPad/Kindle

Summary

This extraordinary book tells the story of Geoffroy Delorme, an accomplished photographer, lecturer and nature lover, who, recalling a chance meeting with a young roe deer in his youth, decides to change his life。 He casts his metropolitan world behind and relocates to the sumptuous national forest of Louviers, Normandy to live with the deer and immerse himself in the wilderness for seven years。

Alone in the forest with no tent, no shelter and not even a sleeping bag or blanket is an exercise in pure survival, and so Geoffroy follows the deer's behaviour closely。 He adapts to their way of life, learns to eat and sleep among them, and acquires a unique understanding of these extraordinary creatures。 Over time he befriends the deer and becomes part of a wild animal family with which he shares moments of joy, sorrow and even fear。

Deer Man is a fascinating and spellbinding account of the ancient quest to reconnect with the natural world。

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Reviews

Marléne Ärlemalm Dahlin

Geoffroy Delorme är bara nitton år när han söker sig till bort från sin franska by。 I Normandies skogar kommer lugnet och harmonin。 Allt det som han inte känner i den vanliga världen, varken med vänner eller familj, får han i skogens stillhet。 Till en början tillbringar han några timmar per dag med de fascinerande rådjuren。 Registrerar deras beteende och fotar dem。Rådjuren lockar honom allt mer。 Till slut bestämmer han sig för att flytta dit och leva med dem på heltid。 Föräldrarna visar liten fö Geoffroy Delorme är bara nitton år när han söker sig till bort från sin franska by。 I Normandies skogar kommer lugnet och harmonin。 Allt det som han inte känner i den vanliga världen, varken med vänner eller familj, får han i skogens stillhet。 Till en början tillbringar han några timmar per dag med de fascinerande rådjuren。 Registrerar deras beteende och fotar dem。Rådjuren lockar honom allt mer。 Till slut bestämmer han sig för att flytta dit och leva med dem på heltid。 Föräldrarna visar liten förståelse och tar alltmer avstånd från Delorme och hans eskapader。 I sju år bor han i skogen med endast enstaka besök i civilisationen, för att tvätta kläder och bunkra mat。 Vi läsare får veta allt om rådjurens parningstid, kost, sovtider, flockmentalitet och rörelsemönster。 Framför allt får vi följa med på relationsbyggande mellan människa och djur。 Det går så långt att en rådjurshona låter Delorme vara barnvakt medan hon går iväg för att vila。 Biografin har också ett klimatpolitiskt budskap om skogsavverkning, som nästan blir övertydligt i slutet av boken。 ”Människa,Jag är eldslågan i ditt hem om vinternattenNär sommaren är som hetast får du skugga och svalka av taketJag är bädden där du drömmer, virket i ditt husBordet där du lägger brödet, masten i din båt,Jag är skaftet på din hacka, dörren till ditt skjulJag är träet i din vagga och i din kistaJag är stoffet i dina verk och smyckar ditt universumHör min bön: förstör mig inte。”Oerhört fascinerande och sann berättelse。 Om du gillade Ålevangeliet och Löpa Varg gillar du denna。 #rådjursmannen #marlaläser 。。。more

Yoy

Un livre extrêmement beau et profondément triste。 C’est un livre de non-fiction。 On y apprend comment vivent les chevreuils (et comment vit un homme parmi les chevreuils), comment survivre dans les bois (si par pour toujours, on peut se débrouiller pendant tout un temps avec les conseils de Delorme)。 On apprend beaucoup sur la forêt。 Et puis, hélas, sur l’homme。 Mais cela, est-ce qu’on l’apprend vraiment, ou est-ce qu’on le savait déjà ? La vie des chevreuils peut être surprenante pour ceux qui Un livre extrêmement beau et profondément triste。 C’est un livre de non-fiction。 On y apprend comment vivent les chevreuils (et comment vit un homme parmi les chevreuils), comment survivre dans les bois (si par pour toujours, on peut se débrouiller pendant tout un temps avec les conseils de Delorme)。 On apprend beaucoup sur la forêt。 Et puis, hélas, sur l’homme。 Mais cela, est-ce qu’on l’apprend vraiment, ou est-ce qu’on le savait déjà ? La vie des chevreuils peut être surprenante pour ceux qui n’aiment pas les animaux。 Les autres apprendront beaucoup sur la forme, mais seront-ils étonnés de lire combien ces chevreuils sont intelligents, qu’ils ont des émotions, et comprennent celles des humains ? Pareil pour la forêt, car qui dit chevreuil, dit bien évidemment forêt。 On apprend certainement des choses qu’on ne savait pas encore。 Et puis, on vit une immersion humaine et totale dans la forêt。 C’est différent de tous les rapports écologiques que nous lisons habituellement。 Ce sont des renseignements complémentaires très précieux, et c’est du vécu。 Ce qui est agréable aussi, c’est qu’on peut bien s’identifier。 Comme lecteur, on se sent invité à vivre avec Delorme dans cette forêt, parmi les chevreuils。 Avec lui, on vit les joies, les amitiés, les difficultés et les profondes douleurs。 Finalement, on comprend aisément pourquoi les chasseurs ne veulent pas croire l’histoire que Delorme a vécue。 Ils devraient se regarder dans le miroir et se poser la question : maintenant que je sais tout cela, est-ce que je veux être cette personne qui occasionne toute cette tristesse, et complètement inutilement ? Est-ce que je suis ainsi ? Ou est-ce que je pose mon fusil ?Car Delorme explique bien que la sélection naturelle fonctionne très bien, que même s’il n’y a pas de chasse, il n’y aura pas trop de chevreuils。 On les voit dans les prairies et potagers, non pas parce qu’il y en a trop, mais parce qu’ils ont trop peu de forêt / sous-bois / nourriture。 De surcroit, les chasseurs occasionnent de grands dégâts au niveau psychique des chevreuils et autres animaux。 Pareil pour ceux qui aiment la nature, mais qui ne trouvent pas grave de bâtir un peu, un simple camping, ça ne fera pas de tort, tu verras », ou ceux qui disent qu’il faut une route, et ceux qui débroussaillent et prennent ainsi de l’alimentation précieuse à la nature, ou encore ceux qui enlèvent la nourriture aux arbres pour faire des pellets, tous ceux n’ont rien compris。 L’homme doit NE RIEN FAIRE。 Et c’est ce qu’il fait le moins bien。 Bon, j’ai beaucoup, énormément aimé ce livre。 Une chose, je trouve qu’on saute beaucoup dans le temps。 Le livre est constitué d’histoires vécues, mais parfois on saute d’une saison à l’autre, ou bien on a l’impression d’aller plusieurs années en avant, le vécu de Delorme est très différent, pour revenir en arrière après。 Il aurait pu éviter de me déboussoler en ajoutant une date, un mois ou une saison et l’année près de chaque vécu。 Ou bien, si c’est trop difficile, un « période » avec la saison。Voilà, jusque-là ma chronique。 Maintenant suit un petit exposé plus philo, pour les amateurs qui veulent。。。Autre remarque, c’est que la lecture était philosophique au début。 Ainsi, Delorme explique que le plus dur, ce n’était pas de survivre en forêt, mais de vider le cerveau des pensées psychologiques, et d’apprendre à vivre comme les chevreuils, dans l’instant。 Sans passé ni avenir。 Hors dur temps, si on le voit de façon philosophique。C’étaient de très beaux textes, et on le ressent quand il parle de ses aventures。 Quand il arrive dans la forêt, il est une page blanche, tout innocence, et émerveillé par tout。 Bien sûr, il est très intelligent, discipliné, technique il apprend à survivre。 Mais le fond n’est pas seulement intellectuelle, on ressent une vraie intelligence, une sagesse。Au fil des pages, j’ai ressenti comme si Delorme perdait cette sagesse。 Impossible de dire si cela s’est produit dans les bois, ou si c’est arrivé lorsqu’il a plus vécu parmi les humains, et est peut-être devenu plus dur。 Plus on avance dans le livre, et surtout vers la fin, il devient de plus en plus l’activiste qu’il est maintenant。 Évidemment, quand on voit les dégâts de la chasse, qu’on comprend l’impact au niveau social du chasseur et de l’humain qui ne protège pas les bois, quand il doit rendre compte de toutes ces terres qui sont réduites à blanc, on comprend qu’il veuille nous convaincre à traiter bois et animaux autrement。Malheureusement, cela ne se produira pas。 D’abord, il n’y aura que ceux qui aiment la nature qui l’écouteront。 Ensuite, cet activisme, ne sera-t-il pas plutôt fait de batailles, d’agression ? Il y aura les conflits avec ceux qui ne respectent pas la nature, les lobbys etc。 Et… même les activistes auront des idées différentes, vont se chamailler。 Ainsi, l’activisme deviendra une source de conflits, conflits, conflits, d’angoisses, de tristesse, et une perte d’énergie incroyable。 Bien sûr, si Delorme veut être activiste, il peut le faire。 Mais, s’il n’a pas perdu la sagesse qu’il avait au début du livre, je lui conseille d’en parler aussi, car sans cela, pas de changement, c’est certain。 L’humain ne changera pas profondément, radicalement son comportement tant qu’il n’aura pas changé lui-même。Et si Delorme a perdu cette innocence (j’espère bien que non), je lui conseille de la retrouver au plus vite。 C’est là la véritable urgence pour l’humanité。 Et pour les chasseurs, voici cette histoire vraie de comment vivaient les Indiens en Amérique。 Ils étaient végétariens。 Pourtant il y avait parfois de la pénurie, sans doute vers la fin de l’hiver。 Alors il était décidé qu’il fallait chasser le buffle pour faire survivre la tribu。 Les chasseurs avaient observé le troupeau, savaient quel(s) buffle(s) ils pouvaient chasser sans occasionner de dégâts dans le troupeau。 Bien sûr, ils ne chassaient que la viande dont ils avaient vraiment besoin。 Et avant d’aller à la chasse, ils s’excusaient auprès de Dieu des Buffles, demandaient pardon, expliquant pourquoi ils allaient tuer un buffle。 Entre parenthèses : J’ai été surprise que Geoffroy Delorme s’est si souvent posé la question pourquoi Chévi se comportait de façon tellement familière avec lui。 Il a tout de même assisté à la naissance du chevreuil ? Ce chevreuil qui a toujours remarqué que sa maman n’avait pas peur de Geoffroy。 Certes, par la suite le petit Chévi avait peur de Geoffroy, il était encore petit, cherchait sa maman。 Mais plus grand, il pouvait mieux distinguer le danger du non danger。 Et Geoffroy à la naissance, c’est comme… comme un enfant qui entend de la musique classique quand il est encore dans la matrice, ou dès la naissance, et qui devient musicien plus tard。 C’est une expérience, quelque chose qui a été perçu, senti, quand il était tout petit。 Pour Chévi, Geoffroy Delorme fait vraiment partie de la famille。 。。。more

Karenina

”Jag vill leva mitt liv med mina vänner rådjuren, intensivt, det spelar ingen roll om det blir kort。 Men om jag ska rädda dem från undergången, orsakad av den här världen som håller på att bli galen, måste jag hålla mig vid liv så att jag kan berätta deras historia och göra folk medvetna om hur tillvaron ute i det vilda ser ut。”Med syfte att göra sig till språkrör för rådjuren lever Geoffroy Delmore i skogen som nomad i sju år utan varken tält eller sovsäck。 Vi snackar alltså hardcore nedmonteri ”Jag vill leva mitt liv med mina vänner rådjuren, intensivt, det spelar ingen roll om det blir kort。 Men om jag ska rädda dem från undergången, orsakad av den här världen som håller på att bli galen, måste jag hålla mig vid liv så att jag kan berätta deras historia och göra folk medvetna om hur tillvaron ute i det vilda ser ut。”Med syfte att göra sig till språkrör för rådjuren lever Geoffroy Delmore i skogen som nomad i sju år utan varken tält eller sovsäck。 Vi snackar alltså hardcore nedmontering av välfärd。 Han försöker avhumanisera sig själv och klippa banden till civilisationen。 Rådjur, rävar, vildsvin och andra vilda djur visar honom hur han kan göra för att överleva。 Det är inte direkt någon harmonisk tillvaro och det blir tydligt vilka människans tillgångar och brister är i förhållande till andra djur。 Han äter vad skogen bjuder på (ej djur), borstar varken tänder eller tvättar sina kläder。Delorme älskar skogen och rådjuren så mycket att han vill vara en av dem。 Han tycks se människan som en fiende vilket är begripligt med tanke på hur människan behandlar natur och djur。 Han lyckas komma flera rådjur helt nära, namnger dem, blir slickad i ansiktet och kan till och med kommunicera med dem。 Han hävdar att hans sinnen förändras och mer lik rådjurens。 Antingen har jag huvudet för långt uppe i min egen moderna röv eller så är jag bara skeptisk, men jag har svårt att ta honom på orden, åtminstone inledningsvis。 Hade det inte varit för hans gravallvarliga ton hade jag trott att han skojar med mig。 Boken lämnar mig med en känsla av djup förundran。 Om det han skriver är sant är det helt otroligt。Att marknadsföra den här boken som självbiografi tycker jag är märkligt, den handlar om hans aktivistiska sju år i vildmarken。 Det är inte en direkt intellektuell text, inte heller speciellt politisk, utan mer sensibel och med praktiskt fokus。 Hur blad och rötter smakar, hur han undviker nedkylning, hans sovvanor och hur han bekämpar fukten。 Men mest handlar det om rådjurens beteenden。 Han skriver att när han är i skogen, slutar han ”tänka” och ”göra” för att övergå till att ”vara”。 Men han övertygar mig inte på den punkten。 Han både tänker och gör tror jag, han tolkar också rådjurens kroppsspråk och beteende utifrån sin mänskliga hjärna och sina mänskliga erfarenheter。 Säkerligen finner han stunder där han bara är, och det är väl gott nog。Som litterärt verk gör Rådjursmannen inget större avtryck。 Många upprepningar och tveksam struktur gör läsningen till lite av en besvikelse för mig, även om den också innehåller fina avsnitt personligt skrivna och vackra naturskildringar。 Men prestationen, som ligger till grund för boken är verkligen anmärkningsvärd。 Jag är paff! 。。。more

Joséphine

La deuxième moitié du livre est plus réussie, ou peut-être que je me suis moins attardée sur ce qui ne me plaisait pas dans le style d'écriture。 On apprend beaucoup de choses sur la vie sociale et amoureuse des chevreuils。 J'aurais aimé en apprendre plus sur son retour à la civilisation, qui est seulement évoqué dans le dernier chapitre et l'épilogue。 Il serait vraiment intéressant d'apprendre comment sa perception de la société humaine a changé après ces 7 ans de vie sylvestre。 Il est déjà pres La deuxième moitié du livre est plus réussie, ou peut-être que je me suis moins attardée sur ce qui ne me plaisait pas dans le style d'écriture。 On apprend beaucoup de choses sur la vie sociale et amoureuse des chevreuils。 J'aurais aimé en apprendre plus sur son retour à la civilisation, qui est seulement évoqué dans le dernier chapitre et l'épilogue。 Il serait vraiment intéressant d'apprendre comment sa perception de la société humaine a changé après ces 7 ans de vie sylvestre。 Il est déjà presque télépathe avec son sens de l'odorat surdéveloppé - lors de sa première exposition photo, il reconnaît "la crainte, l'agacement, la peur ou la méfiance" quand il parle aux gens。 On ne peut que lui souhaiter du courage dans son parcours pour défendre les chevreuils contre les coupes à blanc et l'industrialisation qui grignotent les forêts。Review d'origine, Octobre 2021, 50%:Je jette l'éponge à la moitié du livre。。。 C'est une belle aventure pour l'auteur-photographe certainement, mais personnellement, le retour à la nature et la cohabitation avec les chevreuils, ça ne me fait pas envie。 Je n'ai pas accroché avec la narration, que j'ai trouvé très maladroite, et je ne comprends pas du tout la volonté de l'auteur de se faire adopter par les chevreuils à tout prix, quitte parfois à leur faire peur pendant la phase "d'adoption"。 Dans tous les cas c'est une expérience très personnelle, et je suppose qu'on ne peut pas la juger avec des critères habituels。 。。。more

Emmanuel

Une extraordinaire histoire d'amitié et même d'amour qui invite à considérer la forêt du point de vue de ses occupants légitimes et respectueux : les animaux Une extraordinaire histoire d'amitié et même d'amour qui invite à considérer la forêt du point de vue de ses occupants légitimes et respectueux : les animaux 。。。more

Les mots d'Alix

Coup de cœur pour "L’homme-chevreuil", le récit d’une rencontre entre un homme et le monde sylvestre。L’auteur nous prend par la main et nous emmène sous les arbres, au cœur de la forêt, où il a vécu durant sept années。 Il nous raconte au fur et à mesure des pages les saisons qui passent, et les habitants « sauvages » qui l’apprivoisent et lui offrent le tendre spectacle de leur existence。 Les luttes de territoire, les moments de jeu, de repos, l’hiver et la saison des amours, les joies, peines, Coup de cœur pour "L’homme-chevreuil", le récit d’une rencontre entre un homme et le monde sylvestre。L’auteur nous prend par la main et nous emmène sous les arbres, au cœur de la forêt, où il a vécu durant sept années。 Il nous raconte au fur et à mesure des pages les saisons qui passent, et les habitants « sauvages » qui l’apprivoisent et lui offrent le tendre spectacle de leur existence。 Les luttes de territoire, les moments de jeu, de repos, l’hiver et la saison des amours, les joies, peines, peurs… Toute la vie des chevreuils se déroule sous les yeux attentifs mais pas voyeurs de Geoffroy Delorme qui, à leur contact, réapprend à écouter, voir, sentir, vivre。On est ému par cette complicité naturelle qui se tisse entre la nature et l’auteur, cet appel à un retour à l’essentiel et cette dose d’humilité。Un texte qui sent le sous-bois et la rosée du matin, à cheval entre "Walden ou la vie dans les bois" de Thoreau et "Into the wild" de Jon Krakauer, à mettre entre toutes les mains des amoureux de la nature。Je conseille à tous les amoureux et toutes les amoureuses de la nature ! 。。。more

GuGuss

Il faut oser passer 7 ans dans la forêt en compagnie des chevreuils。 Une belle histoire d'amitié entre homme et animal。 Il faut oser passer 7 ans dans la forêt en compagnie des chevreuils。 Une belle histoire d'amitié entre homme et animal。 。。。more